S'il est aisé de définir l'état de bonne santé d'un organe isolé ou même d'un système (respiratoire, digestif), la tâche s'avère bien plus ardue dès lors que la subjectivité de la conscience s'invite dans l'équation. Aux confins des territoires de la pensée et du neurone, la tour de la santé mentale serait-elle érigée en terre d'utopie ?